But:

La pharmacie doit garder son indépendance et se libérer des prestataires. Emedia Ofac Ifak Medidata.
Moins de technocratie, plus de conventions pratiques.

Introduction

La SSPO dénonce les pratiques mafieuses d'organismes officiels (FPH, PharmaSuisse), qui n'ont jamais défendu nos intérêts, qui négocient dans notre dos, nous mettent devant le fait accompli, encaissent des frais de convention, rackettent les jeunes pharmaciens avec des formations fph...(40000Frs en 2ans). Déjà on a plus de marge, comment peuvent-ils négocier une RBP V, qui réduirait encore plus une  marge inexistante et gonflerait à 20Frs la taxe de 7.55Frs. La convention rapporte à  PHARMA SUISSE 12 Millions, soit 7150.- par pharmacie, pour quatre réunions, le président Pharma Suisse prend 500'000Frs de salaire, sans compter la voiture de fonction et la boîte noire. La construction du prix LS n'est pas conforme à la loi et met en péril le réseau des pharmacies. Les pharmaciens soumis au chantage de la facturation papier se sentent obligés de signer.  Les assureurs, complices, touchent en contre partie un rabais de 2.5%,  une participation aux frais de la mauvaise gestion des assurances, qui aggrave la situation des pharmaciens. Après la TVA et le rabais, il reste parfois moins de 5%. de marge.

Elle négocie avec les assurances des systèmes de télémédecine, dans les pharmacies, et facture 34'500Frs par point de vente. Encore une histoire de fric, qui va nous mettre à dos les médecins.

La Suisse doit réduire les infrastructures technocratiques avec des prestations exorbitantes, qui renchérissent indirectement les coûts finaux des médicaments. Au début, les frais de  convention coûtaient  250.-Frs, maintenant 7150.-Frs pour modifier des virgules. Internet changent la manière de travailler. Les entreprises doivent réduire leur marge, les administrations aussi.

Il y a d'autres moyens pour réduire les coûts de la santé sans tuer la marge.
-compendium électronique, pharmacopée électronique
-une réduction des publicités qui passent à la poubelle
-des économies sur les emballages, par la suppression des cartonnages
-une réduction du racket Swissmédic sur les sociétés pharmaceutiques pour l'enregistrement des médicaments, et le contrôle des entreprises: Ils ont fermé le laboratoire homéopatique LRK, malgré un super équipement avec flux laminaire, et détruit des souches biologiques, alors que les risques étaient inexistants et que le labo n'a eu aucun incident depuis son ouverture. Il y a eu du chômage technique, rupture d'approvisionnment. L'époque n'est plus au contrôles des balances, les pouvoirs politiques doivent diriger intelligemment les fonctionnaires à des tâches productives et utiles à la société. Il y a eu faute, il faut obtenir justice, la démocratie est en jeu, une société qui remplace la production par l'administration court à  la faillite.
-dossier électrononique par internet.
-la suppression des cartes d'assuré inutiles (5.-Frs par carte)
-suppression des labels OK pharm, QMS, iso, avec des rapports qualité performance douteux.
-suppression des centrales de facturation qui ponctionnent 50ct de commission par facture.
C'est facile de créer des usines  à gaz, avec l'argent des autres.

Les décideurs, faisant partie des conseils d'administration de ces usines à gaz, ne prennent pas les bonnes décisions. Nos marges réduites ne permettent plus de financer les mafieux en col blancs, sous peine de faillite. Les citoyens doivent choisir, entre le service des commerces , et les impôts des administrations. Il y a urgence, je ne vois pas une société tourner qu'avec des parasites. La SSPO a les talents pour reprendre le flambeau, bénévolement, et mettre en place les réformes ci-dessus qui apporteraient 500 Millions d'économies.

Marges

14/4/2011
ex-fact
+taux logistique+tva 2.5%  parfois 8%
vente ttc - rabais 2.5%
marge
neupogen
826.5
894.3 (+tva 2.5)
941
5%
bayer elite
69.2
79.6 (+tva 8%)
81
1.7%
Sortis 20mg
170.5
174.9
206.9
15.5%
Données d'une pharmacie sur les produits LS AB: moyenne 23%

Comment Bayer peut faire de la désinformation à tous les diabétiques, en propageant une lettre mensongère sur nos marges.
Pourquoi la SSPH se permet de diffuser des documents montrant une marge minimale de 10% alors qu'elle est de 5% en tenant compte de la TVA et le rabais aux assureurs. Pourquoi enjoliver la situation et cacher la vériter? Défend-elle les lobbies pharmaceutiques?
La SSPH offre aux assureurs un cadeau de 2.5%, en contre partie de ce cadeau, elle encaisse les 10 millions de frais de convention.
Nous faisons les banquiers des assureurs, souvent les factures traînent ou sont impayées.
Comment couvrir les  frais financiers sur le stock, l'ammortissement, les charges avec des marges parfois de 5%.
Un solution pour établir une marge minimale de 10% serait de
-supprimer la TVA pour les produits avec une marge de moins de 10%.
-supprimer le rabais aux assureurs.
-Rémunérer le pharmacien sur une commission net de distribution. (Ex:40.-Frs sur 800.-Frs), l'assureur paie directement l'industrie, ainsi nous n'avons plus à supporter les frais financiers. Sinon il faut  négocier des baisses de prix avec l'industrie, et nous donner minimum 10%.

Défendre la profession est facile, il suffit de dire la vérité. Les pouvoirs politiques ont tellement compliqué le système que plus personne ne voit clair.
Il faut des systèmes simples, justes et équitables pour pérenniser la profession. Le rôle des politiciens est de faire pression sur les lobbies, et non de faire partie de leurs conseils d'administration et de toucher des salaires de 500'000Frs par année comme notre président de pharmasuisse.

E-management, ce moyen écologique ferait économiser 500 millions au système de la santé.

Selon l'étude du Groupe Mutuel, une correspondance coûte 25.-Frs,  un email manuel, offrant gratuitement la traçabilité 7.-Frs, un email automatique dix centimes. La révolution internet supprimera à terme le papier, notre proposition de consultation on line des contrats, décomptes et détail des factures chez les assureurs, serait écologique et autoriserait une réduction de prime pour les assurés choisissant l'option de l'e-management.

Nous restons sans voix devant
-le manque de coopération de certains assureurs non conventionnés, qui refusent l'emploi des nouvelles technologies pour réduire les coûts,
-retours de factures pour des motifs fallacieux et refusant le paiement partiel et mutipliant les litiges Travailler avec du papier à l'époque d'internet est de la mauvaise foi: c'est un moyen de retarder le paiement, possibilité d'égarer les dossiers et sélectioner les mauvais risques, il est trop facile de faire fuir un client en ne remboursant pas les prestations, ou le maltraitant. Les conflits permanents ne sont pas gratifiants et nous avons autre chose à faire que de se pourrir la vie.

Nous demandons une législation pour les assureurs non conventionnés et des pénalités pour les surcoûts engendrés.
Tous les acteurs ont dû investir dans l'informatique pour réduire les charges. Certains assureurs en travaillant avec le papier, pénalisent la compétitivité des partenaires. Assura en refusant de prendre quatre secondes pour saisir un code bvr, fait perdre quatre minutes au pharmacien pour un acquittement manuel, en plus du risque d'erreur. Voici les mesures proposées contre un assureur refusant de mettre son administration aux normes élémentaires:
Nous sollicitons l'autorité suprême, avant d'alerter les média, car la direction d'Assura et de Supra est absente. Dans l'espoir d'un soutien de votre part  pour faire avancer les choses, veuillez agréer, Monsieur le conseiller fédéral, nos salutations distinguées.

SSPO Société Suisse des Pharmaciens d'Officine  (
http://sspo.duckdns.org)

Exemples de litiges:  (assura/litigeassura.htm)

Exemple de cessioncreance.htm

Notre groupement de pharmaciens indépendant des lobbies (ofac, ifak, medidata, galenica, ssph...), a de nombreuses autres solutions à proposer pour soulager le travail administratif.

Autres voies d'économie
1) Un document d'identité devrait comporter un numéro unique en guise de carte d'assurance (numéro AVS pour les Suisses). Economie annuelle de 40millions pour la diffusion des cartes d'assuré à puce. (inutile de multiplier les cartes)
2) Mise en place par les assureurs d'un serveur commun  pour la consultation des couvertures et de l'état de dépassement de la franchise pour ne plus faire des factures inutiles avant la franchise.
3) Suppression des centrales de facturation des assurancesà la place un envoi  direct par email ou ftp des factures xml à l'assurance. 
4)les pharmaciens donnent 2.5% de rabais en guise de participation aux coûts des assureurs pour les financer!  (69millions annuels), sans facturer la TVA. Après TVA 2.5 et rabais 2.5 notre marge descend pour beaucoup de produits à 5%.


 Les pharmaciens ne peuvent plus financer ces usines à gaz,  autant travailler en direct.
-1/4 des assureurs les boudent à cause de la complexité de fonctionnement et les commissions astronomiques(1.-Frs/facture selon assura). (assura, supra, intras)
-le seul intérêt d'une centrale, serait l'acheminement automatique de la facture au bon assureur en indiquant que le numéro d'assuré. Cela dispenserait le pharmacien de suivre chaque changement d'assurance du client.
5) Généralisation de l'emploi d'e-mail entre les partenaires de la santé, en remplacement des fax obsolètes.
6) Se méfier des nouveaux standards d'ordonnance électronique ou de carte de santé (triamun galenica, covercard ofac), mais utiliser des systèmes simples, ouverts et gratuits.Les mises à jour de l'informatique, pour des systèmes compliqués coûtent de véritables fortunes et crée des monopoles chez les fournisseurs informatiques. Nous pourrions avoir le dossier électronique demain: il suffit de donner un email à chaque assuré, dans lequel, tous les prestataires de soin envoient les dossiers. L'assuré accède avec son mot de passe et nom d'utilisateur, les personnes âgées donnent l'accès à leur tuteur.

Il faut économiser sur l'administration plutôt que le service. Le monde du travail a besoin de simplifications: le tarmed et la rbp ont coûté des centaines de millions à mettre en place, provoquant une multitude de litiges, perturbant les professionnels dans leur travail et leur formation continue. Les services internet énumérés ci-dessus ne coûtent rien à mettre en place, apporteraient économies, gains de temps et d'argent.

Les organismes chargés des conventions encaissent des millions (5millions pour la rbpIV et 15 millions de budget de fonctionnement pour la PharmaSuisse) et ne règlent même pas l'essentiel pour un fonctionnement moderne et efficace.

Le rôle des pouvoirs politiques est d'être à l'écoute des utilisateurs, leur responsabilité est grande, il en va de la survie du réseau de pharmacies, si rien ne bouge autant réduire les pouvoirs politiques, nous économiserons ainsi les frais de convention et garderons des systèmes simplifiés. Comme nos sociétés faîtières sont sans réaction.
PS:
L'équipe SSPO reste à votre disposition, pour des questions dans le domaine de la pharmacie. (calcul des prix des médicaments et d'un tarif juste)
http://sspo.dyndns.org

SSPO

Relation avec le grossiste visite du 2/2/2013

Suite à l'aimable visite de Madame Cherpillod, j'ai relevé quelques points d'amélioration à notre collaboration.

-Est-il possible de nous fournir un décompte trimestriel avec les bons totaux, pour faciliter le travail de la TVA et réduire le papier.
-Il est impossible de commander avec le code ean. L'indépendance passera par l'abandon du pharmacode et l'utilisation du code EAN.
-Il faut négocier avec notre groupement New-octopharm des conditions spéciales pour certaines gammes, en contre partie les inciter à commander exclusivement chez vous..
L'exemple de la gamme Avène ou Oenobiol est flagrant.
4828061;AVENE AKERAT 30 SOIN INTENSIF 10;  19.90; N    EX.FAC:  14.8   (facturé 15.6+TVA=16.9) comment fait-on pour vivre avec une marge de 15.1%?
-Vu que le monopole sur les données est tombé, je ne comprends pas qu'Amedis ne livre pas gratuitement un extrait de son fichier pour les produits OTC. (8 champs suffisent)
(pour les produits LS nous les trouvons sur le site sur www.bag admin.ch (http://www.bag.admin.ch/themen/krankenversicherung/00263/00264/00265/index.html?lang=fr)
Nous devons connaître l'état de votre stock, Emedia ne fournit pas l'information. C'est à vous de nous fournir mensuellement et gratuitement une liste positive de votre stock.
Il est normal à l'ère d'Internet que chaque partenaire mette on line ses données pour ses clients, donc j'estime votre nouvelle prise de position injustifiables techniquement.
Soit vous continuez à fournir des données extraites de votre fichier central, soit vous nous aidez à créer un fichier digne du XXIème siècle (Wikifichier)
Dans les deux cas SSPO et Nofac sont à votre disposition pour étudier la faisabilité.

Projet Wikifichier.

- Le monopole sur les données est tombé, Il est temps d'exploiter Internet pour le réaliser le projet Wikifichier.
Nul besoin de structures pour gérer ce nouveau fichier, chaque fabricant se charge de gérer ses données.

Dépendance d'Emedia: nous ne pouvons corriger les erreurs des fichiers, car elle sont effacées à chaque mutation.
Le pharmacode est propriété de d'Emedia, nous devons utiliser le code ean pour la facturation et les commandes aux grossistes.

Dépendance de Swissmédic: Les pharmacodes ou ean ne doivent pas changer sans raison valable. un changement d'excipient, couleur d'emballage, liste OICM, n'en constitue pas un motif. (swissmedic)  La création d'un nouveau code ean coûte cher. Un fabricant devrait pouvoir créer un code sans l'aval de Swissmédic. (produits cosmétique, homéo)
Ex: 756(suisse)12345(fabricant)67890(code interne) Nous n'avons pas besoin d'organisme pour gérer un fichier, Internet est là pour supprimer les intermédiaires inutiles.
La SSPO peut juste maintenir la liste des fabricants.

-Stop papier. Le fabricant arrête de nous envoyer des prospectus
-Le fabricant maintient un site internet pour chaque produit:  http://sandoz.ch/code-ean
-Nous trouvons sur la page d'accueil, les conditions de retour, les nouveautés, conférences......
-Le fabricant dépose chaque mois sur un serveur un listing de ses produits.  (CSV, séparateur virgule, Ex: 1234567,"ASPEGIC 500",4.50, etc....)
 
En cas de rupture de fabrication, le fabricant en indique le motif sur le site internet.
Le code LIMA doit figurer dans la description. Le prix ne devrait pas dépasser le prix LIMA.
Application de la loi sur  la concurrence. (Interdiction de la communication d'un prix conseillé pour l' OTC)
Bannir le pharmacode au profit du code ean.
si le code ean n'existe pas, bien structurer la description (code dans description)
la description pourrait être un code en soit, permettant de supprimer les codes rayons et les codes taxes    Ex:  Cannes anglaise; taxe substitution  anti-biotique.(pourquoi créer un code?)

-Description normalisée à 50 caractères.
-Flexibilité: chaque fournisseur peut gérer ses produits (Ex: Rogé Cavailles)
-Centralisation des informations sur serveur

Fichier article selon le format ci-dessous, (ou éventuellement le fichier popul, à condition que les champs prix + etat du stock soient justes)
structure:  15champs
1)ph code     (doit  disparaître si le grossiste accepte une commande avec le code ean)
2)nom du médicament
3)prix_exfactori                                           //souvent faux, nous utilisons le prix facturé.
4)prix_pub pour les produits LS, doit disparaître pour l'OTC selon la loi  de la libre concurrence.
5)code oicm                                                 //(ABCDE)
6)code ls                                                      //SHN
7)code tva                                                   //haut ou bas
8)limite                                                        //médicament limité oui ou non
9)code ean
10)index therapeutique selon ls                   //il a beaucoup à dire sur l'index thérapeutique qui n'a pas évolué depuis 30ans
11)numero fabricant
12)Etat assortiment                                  //souvent faux, en stock, hors commerce, pas remis au grossiste
13)conditions de retour                             //NR, +n, -n .....
14)code chaînage                                        //si swissmedic ne modifiait pas les codes inutilement, il serait inutile.
15)lien internet sur le site du fabricant    //http://fabricant-code_ean    ex: http://sandoz-7561234567890  champ virtuel: construction avec le numéro fabricant et le code ean
 

Le  système garde une trace des mutations de prix

Il est urgent que New-Octopharm se mettent autour de la table de négociation avec vous pour redéfinir la collaboration.
Il faut que les pharmaciens arrêtent de commander en direct, et que les grossiste prennent une marge de 6% et non 30% comme pour la gamme Avène ou Oenobiol.
Concernant le projet Wikifichier, vous êtes le mieux placé pour discuter avec les fabricants du projet, il n'est pas illlusoir de mettre le projet en route pour la fin de l'année.
SSPO et Nofac se chargeant de la direction du projet.
Dans l'attente de votre réaction, nous vous prions d'agréer nos meilleures salutations.


Copie à New-Octopharm, SSPO, pharm-action.

Projet Zéro pub

Le droit de recevoir ou non de la publicité. Catalogue électronique visant à supprimer les publicités, chaque année une pharmacie jete à la poubelle 10m de papier. Ce catalogue peut être une simple liste des fournisseurs avec les liens au site de chaque fournisseur. http://sspo.dyndns.org/listes.htm


Projet de commandes groupées:   paiement à l'avance, distribution directe

Projet de suppression des factures papier pour les achats directes

Grâce à un système centralisé de gestion des partenaires. (CCP  des partenaires) 1) Le fournisseur engeristre la facture Ex: Mepha à Pharmacie Neuve, montant: 850Frs, TVA 69Frs, lien sur le détail de la facture pour contrôle. 2) Les aides reçoivent la marchandise et l'acquittent on line 3) A la fin du mois le pharmacien coche la facture pour exécution, le système génère un ordre DTA de toutes les factures du mois, qu'il  transmet par télébanking pour exécution.

Potentiel d'économie